Les patients pédiatriques atteints de neuroblastome à haut risque ont un faible taux de survie et ont un besoin urgent d’options thérapeutiques plus efficaces avec moins d’effets secondaires. Puisque des immunothérapies nouvelles et améliorées peuvent répondre à ce besoin, l’équipe d’ I. Janoueix et al, dissèquent les interactions immunorégulatrices dans le neuroblastome par séquençage de l’ARN d’une seule cellule de 24 tumeurs (10 avant et 14 après la chimiothérapie, y compris 5 paires) afin d’identifier des stratégies pour optimiser l’efficacité de l’immunothérapie.